Peser le pour et le contre de la vie numérique : 6 Belges sur 10 ne veulent pas revenir à la situation d'avant-corona
- Les e-apéros passent à la trappe : les applications de vidéo en ligne semblent bien ancrées, mais uniquement pour le télétravail et le contact avec les grands-parents
- Les Belges sont préoccupés par l’excès de temps passé devant l'écran et les cyberdangers
- Pour accompagner au mieux ses clients en ces temps de changement d'habitudes, Telenet lance ONE: une toute nouvelle offre à composer soi-même. Une seule connexion internet pour l'intérieur et l'extérieur sans limite de volume, avec un libre choix d'offres de télévision et une sécurité internet incluse.
Avec l’arrivée des vaccins et les assouplissements des mesures, la Belgique ose lentement penser à un avenir où le contact physique pourra à nouveau exister. Telenet a demandé à 1065 Belges comment ils imaginent la cohabitation entre la vie “en ligne” et “hors ligne” après le coronavirus. Bien qu’en attente de contacts réels, 60 % des Belges vont également continuer à structurer leur vie quotidienne grâce à la connectivité en ligne, pratique et offrant souvent un gain de temps. Nous voulons décider par nous-mêmes ce que nous faisons en ligne, où et quand. En même temps, nous cherchons quelque chose à quoi nous raccrocher dans cette vie de plus en plus numérique. Par exemple, une personne interrogée sur deux se dit préoccupée par le temps qu'elle passe devant l'écran (ce chiffre passe à 62 % lorsqu'il s'agit du temps passé devant l'écran par les enfants) et 43 % se sentent de moins en moins en sécurité en raison de tous les faits de cybercriminalité, comme le phishing. Afin d'accompagner au mieux ses clients en ces temps de mutations, Telenet lance ONE : une toute nouvelle offre qui donne aux clients toute la liberté et la sécurité qu’ils souhaitent, sans limite de volume et avec l'offre de télévision de leur choix.
Appels vidéo : pour le travail et les grands-parents
La vie post-corona : on en rêve depuis longtemps ! Les retrouvailles avec les amis, les grands-parents enlaçant à nouveau leurs petits-enfants, les team buildings avec les collègues, les virées dans les festivals, etc. Nous sommes en manque de toutes ces activités physiques qui nous donnent de l’énergie, stimulent notre créativité et nous divertissent. Pendant les confinements, nous avons essayé de poursuivre ces activités de manière digitale.Les applications de vidéo en ligne étaient utilisées pour tout : suivre des séminaires et des réunions, faire du sport ou encore prendre un verre avec des amis. Plus d'un an après le début de la pandémie, 74% des Belges indiquent de façon catégorique ne plus vouloir faire d’ « e-apéro » après le corona.Nous observons la même tendance avec d'autres activités sociales et hobbies. Les appels vidéo que nous souhaitons conserver après le corona sont destinés au travail (85 %) et aux conversations avec les petits-enfants (83 %). Il semble également que nous nous soyons attachés à nos promenades. Pas moins de 97 % des Belges veulent continuer à marcher ou à faire du vélo en famille ou entre amis post-corona. Et 75 % d'entre eux veulent continuer à faire des réunions, brainstormer ou discuter entre collègues tout en se baladant.
Le hors-ligne reste la norme, la connexion digitale facilite la vie
Après le corona, nous voulons surtout préserver les aspects pratiques de la société « plus digitale ». Par exemple, 64 % des personnes interrogées ont déclaré que le télétravail permettait de gagner du temps. Trois personnes sur quatre (74%) souhaiteraient continuer à télétravailler même après la crise, simplement en raison du temps gagné en économisant sur les trajets domicile-travail. Près d'une personne sur deux affirme que le télétravail permet de mieux concilier vie professionnelle et vie privée. Et 45% disent qu’ils sont beaucoup plus au courant de ce qui se passe dans la vie de leurs amis et de leur famille grâce aux adaptations numériques mises en place pendant la crise covid-19. Un grand-parent sur cinq affirme que cela lui permet de rester en contact plus étroit avec ses petits-enfants.
Nous ne jetons donc pas complètement par la fenêtre la vie numérique construite pendant le corona, mais nous recherchons l'équilibre idéal. 60% des Belges pensent que c'est une bonne chose que la vie en ligne et la vie réelle se mélangent plus que jamais.
ONE: une nouvelle offre de connectivité dans un monde en constante mutation
Les temps changent à toute vitesse et nous exigeons plus que jamais une liberté numérique : la possibilité d'être en ligne où, quand et autant qu’on le veut. Telenet veut soutenir ses clients dans ce besoin. Le concept de "taille unique" des offres actuelles disparaît au profit d'une approche modulaire où les clients choisissent eux-mêmes ce dont ils ont besoin. Et cela s'appelle ONE.
Tout d’abord, ONE supprime les limites que les clients rencontraient jusqu'à présent. Tout commence par une seule connexion pour l'internet fixe et mobile, sans limites de volume, à un prix fixe. La distinction entre la consommation via le WiFi et la 4G disparaît. Il ne reste donc que trois choix pour les clients : le débit souhaité (150 ou 1000 mégabits par seconde à la maison, 30 mégabits par seconde ou plus à l'extérieur), le nombre de cartes SIM dont ils ont besoin (ce nombre détermine le prix) et avec ou sans télévision (si oui, par quel moyen : via le boîtier Telenet TV ou en streaming via la nouvelle application Flow).
Avec ONE, les clients reçoivent systématiquement une carte SIM de données supplémentaire. Elle peut par exemple être utilisée dans une tablette, mais elle s'intègre aussi parfaitement dans un Mini-modem. Ce nouveau dispositif vous permet de créer un “hotspot” personnel pour un maximum de dix appareils, où que vous soyez.
A l'intérieur ou à l'extérieur, qui s'en soucie encore ?
Dieter Nieuwdorp, vice-président de Telenet : "L'année dernière, tout le monde s'est connecté en masse. Plus de la moitié des Belges déclarent être plus conscients qu'avant la crise du corona de l'importance de l'internet dans leur vie quotidienne. Le trafic sur notre réseau a connu un pic sans précédent et des records ont été battus à plusieurs reprises.
"Si nos clients ne font plus la différence entre le domicile et l'extérieur, pourquoi la ferions-nous ?"
« Les habitudes numériques que nous avons prises à l'intérieur comme le télétravail, le streaming ou les appels vidéo, nous voulons les adopter à l'extérieur également. Les barrières entre le wifi et la 4G, ou la crainte d’être à court de data doivent être éliminées. C'est pourquoi les limites de volume vont disparaître dans ONE, tant pour l'internet fixe que pour l'internet mobile. Cela donne à nos clients la liberté de poursuivre leurs habitudes numériques partout et à tout moment. Ils le font en toute sécurité grâce aux systèmes de sécurité inclus dans ONE. Et sur cette base, ils peuvent ensuite choisir librement les services supplémentaires qu'ils souhaitent, comme la télévision par exemple."
Défi de la connectivité en ligne: de la connexion en ligne à la présence en ligne
Le Digimeter récemment lancé par le bureau de recherche Imec montre également l'accélération numérique significative de l'année écoulée. Le Professeur Lieven De Marez confirme la tendance selon laquelle les gens recherchent de plus en plus la liberté de déterminer par eux-mêmes leurs besoins en connectivité et surtout, de déterminer comment celle-ci pourra répondre à leurs besoins de divertissement.
En même temps, il semble qu'il y ait encore une grande différence entre se conncecter en ligne et être présent en ligne. M. De Marez illustre sa thèse par quelques paradoxes concrets :
"Nous sommes plus connectés que jamais. Pourtant, de plus en plus de personnes ont du mal à se déconnecter et à déterminer le temps passé devant un écran. Trouver le bon équilibre devient un défi sociétal important."
Psychologue clinicienne, Elke Van Hoof est convaincue que nous devons, en tant qu'êtres humains et en tant que société, nous retrousser les manches pour trouver le bon équilibre dans ce monde en constante évolution. Elle ajoute que le fait d'être toujours connecté ne conduira à une meilleure qualité de vie que si nous apprenons à l'utiliser de manière consciente et intelligente.
"Si nous voulons progresser et avoir une meilleure qualité de vie, nous avons encore un certain nombre de défis à relever. Rester connecté en permanence serait néfaste pour nous. A tous les niveaux. Nous devons donc investir dans de nouvelles compétences, comme la déconnexion.
"Nous ne devons pas supposer que nous pouvons nous déconnecter facilement. La technologie est trop imposante pour cela. Nous devons l'apprendre activement."
Une compétence qui aurait sa place à l’école ! Et une compétence à prendre en compte dans les décisions des entreprises afin d'utiliser la technologie comme un soutien et trouver la meilleure utilisation de celle-ci. Nous ne devons pas supposer que nous allons assimiler tout cela au fur et à mesure. La technologie est si écrasante que c’est tout simplement impossible. Le contrepoids devra venir d'ailleurs. Le travail hybride doit également valoriser d'autres compétences, à savoir la créativité pour permettre à l'entreprise d'innover davantage, le lien qui garantit la coopération et le soutien mutuel, et l'esprit critique car toutes les informations ne sont pas pertinentes."
La sécurité en ligne est une priorité absolue
Le professeur De Marez souligne également la nécessité d'un soutien en matière de sécurité sur Internet :
"Nous recevons beaucoup d’informations, mais nous avons également du mal à distinguer le vrai du faux. Comment puis-je savoir s'il s'agit vraiment d'un email de ma banque ou d'un phishing? Les gens cherchent un soutien et des partenaires fiables pour les aider dans ces problématiques de sécurité."
Telenet prend directement en compte ces besoins sociétaux. "Safesurf" est ainsi ajouté systématiquement à tous ses produits Internet. Ce logiciel anti-phishing installé sur le modem protège tous les appareils connectés au réseau domestique. Un client clique sur un lien de phishing dans un e-mail ou une pop-up? Il en est automatiquement alerté.
Quant à ONEup(le grand frère de ONE), il comprend Safespot+. Il s'agit d'une protection tout-en-un qui protège contre les virus, le phishing et les ransomwares sur tous les appareils, aussi bien sur le réseau domestique qu’à l’extérieur. Il y a aussi l'application Safespot avec fonction “sommeil”, fonction de pause et filtres de contenu. Les clients peuvent ainsi garder le contrôle de leurs habitudes numériques et de celles de leur famille.
ONE and ONEup : disponibles à partir du 26 avril
ONE en ONEup seront disponibles à partir du 26 avril et remplaceront les offres groupées actuelles de WIGO et YUGO. Les clients de WIGO qui bénéficient de plus d’avantages avec ONE ou ONEup en termes de prix et/ou d’options seront contactés proactivement et transférés vers une de ces deux offres. Pour les autres, rien ne change.
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À propos de cette étude
Agence de recherche: Indiville
Enquête réalisée entre le 8 et le 14 avril 2021
Échantillon représentatif de la population belge
Échantillon N = 1065 sur la base des chiffres Statbel les plus récents
Pondéré pour l'âge x le sexe par groupe linguistique (néerlandais et français),
région et niveau d'éducation par groupe linguistique.
Le facteur de pondération maximal était de 1,44